jeudi 18 septembre 2014

52 minutes d'activité, 17 minutes de pause : le rythme idéal de travail

Pour être une guerrière du bureau, rien ne sert d'enchaîner les heures de travail tête baissée. L'équation magique serait d'alterner 52 minutes de travail et 17 minutes de pause pour être hyper productive. Pas sûr que votre boss partage l'idée, mais c'est ce qu'a constaté une entreprise lettone.
Après plusieurs heures de travail consécutives, on sait bien qu'il faut reposer le cerveau pour éviter de rester végétative devant son écran, les neurones en compote. C'est ce qui s'appelle travailler intelligemment. La méthode vient d'être prouvée concrètement au sein de Draugiem Group, une entreprise lettone, qui a produit une étude relayée par le site du mensuel Fast Compagny. À l'aide de DeskTime, un logiciel commercialisé par l'entreprise, ils ont suivi ce que faisaient les employés sur leur ordinateur. Grâce à ce mouchard installé sur les ordinateurs, il est en effet possible de détecter l'activité des employés sur des applications classées comme « productives », « non-productives » ou « neutres ». Résultat : 10% des salariés les plus efficaces prenaient des pauses régulièrement. Et pour les champions de la productivité, ces pauses atteignaient 17 minutes, pour 52 minutes de travail.

Déconnecter complètement pendant la pause

Cette courte période de labeur permet aux employés d'être pleinement concentrés sur ce qu'ils font et donc d'être efficaces. Le break qui suit les repose avant d'attaquer une nouvelle tâche. Attention, nous parlons ici de vrai break, pas de 17 minutes passées à décrypter son fil d'actualité Facebook ou à parler des ennuis de bureau avec son collègue de droite. Les employés de Draugiem Group déconnectent au sens propre comme au figuré : marche, lecture ou encore discussion, mais pas de travail.
Difficile de savoir si la règle des 52 minutes / 17 minutes est la meilleure (tous les emplois ne le permettent pas) mais des pauses régulières au cours de la journée sont de toute façon indispensables. Et ce, tout simplement car nous ne sommes pas concentrés de manière égale tout au long de la journée. Ne serait-ce que pendant la digestion : en juin 2013, une étude britannique relayée par le site Daily Mail et réalisée par des chercheurs de London Offices, montrait qu'à 14h55 notre pic de productivité est au plus bas. 
Alors après avoir bouclé votre travail, lisez cet article et filez étendre vos muscles en salle de pause ou écouter votre morceau préféré !
Source de cet article: http://madame.lefigaro.fr/beaute/52-minutes-dactivite-17-minutes-de-pause-rythme-ideal-de-travail-170914-935578

mercredi 2 avril 2014

De l'importance de la bonne gestion de son temps


La gestion du temps et des priorités n'est pas toujours quelque chose de facile à maîtriser et pourtant, cette thématique nous impacte au quotidien...


jeudi 27 mars 2014

Meilleures entreprises où il fait bon travailler en 2014

L'institut Great Place to Work a dévoilé mardi 18 mars son palmarès 2014 des entreprises où il fait bon travailler en France. Comme chaque année depuis 12 ans, ce classement distingue les groupes qui font de "la valeur humaine leur principale ressource, celle qui permet à chacun de s'épanouir dans son travail, mais également d'œuvrer à la performance d'un projet". Les trois valeurs phares sont la confiance des salariés envers leur encadrement, la fierté d'appartenir à l'entreprise et la convivialité qui permet de travailler dans une atmosphère chaleureuse.
Deux récents sondages ont d'ailleurs mis en avant l'attachement des Français au bien-être au travail, quitte à sacrifier leur salaire...

mercredi 8 janvier 2014

Nos Meilleurs vœux pour 2014

Arhès Conseil vous adresse ses meilleurs vœux pour cette nouvelle année qui commence. Nous souhaitons que 2014 vous apporte du succès dans vos projets et en particulier du bonheur à foison pour vous et vos proches.


mardi 7 janvier 2014

La première carte corporelle des émotions

Des chercheurs finlandais ont détaillé les effets physiques du bonheur, de la peur, de la tristesse et d'autres sentiments.

À la plupart des émotions dites «primaires», comme la colère, la peur ou la surprise, était ainsi associée une augmentation de l'activité au niveau de la poitrine, «caractérisant vraisemblablement une accélération des rythmes respiratoires ou cardiaques», notent les auteurs. À l'inverse, la tristesse se distingue par un affaiblissement de l'activité des membres supérieurs. Les sensations gastro-intestinales et de la gorge sont propres au dégoût. À noter: le bonheur est la seule émotion à se traduire par une élévation de l'activité de l'ensemble du corps. «En regardant la silhouette cartographiée, on pense effectivement à l'expression “ rayonner de bon­­heur».


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